C'est gentil |
Note globale
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C'est gentil |
Editeur
: Inside Out
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Durée
totale : 0 h 23
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Image NTSC |
C'est assez laid, excusez. La définition est vraiment très très limite et surtout la compression est carrément VHSesque. Heureusement, niveau cadrage ca reste propre. |
Making-of
de l'abum (non st)
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Quel bordeeeeeeel ! Ca vient tout droit d'un camescope, haut de gamme peut-être mais ca reste du beau bordos. On entend souvent plus les bruits d'ambiance qu'autre chose. | |||
C'est sympa, John Payne se sent vraiment impliqué, mais vu que l'album est vraiment mieux que leur (pourtant pas mauvaise) moyenne, on aurait aimé moins de superficialité. |
Il y a quelques années, un magasine de hard américain avait collé à Asia ce sobriquet : "le groupe qui ne veut pas crever". C'était mi-ironique, mi-admiratif. Et curieusement, dix ans plus tard, la même formule est toujours d'actualité. Asia fait partie de ces groupes qui ont une "seconde carrière" durant plus de trois fois le temps de la première, et qui malgré tout reste dans les esprits comme "en sursis". Mais le groupe n'a jamais baissé les bras, continue d'inviter des musiciens pas connus mais reconnus (Ian Crichton, Chris Slade...), et a même sorti en 96 un bien bel album digne des meilleurs Foreigner ou Boston : Arena. Cet album, Silent Nation, premier album dérogeant à la règle des "A....A" (z'ont pas pensé à Alleluia, Arizona, Anaconda, Amanda !), a eu très tôt la réputation d'un Arena 2. Et si la première écoute est décevante, il faut par la suite se rendre à l'évidence : c'est vrai ! | |
Question making-of, là par contre vaut mieux dire ce qui est : c'est gentounet. Pas plus pas moins. Surtout pas plus. En fait c'est bien évidemment trop court, mais surtout trop décousu, et comme d'habitude on ne reste pas assez longtemps sur la genèse de l'album, ses difficultés principales, les différents overdubs etc... Une petite démonstration de programmation par Downes n'aurait pas été de trop non plus. Un peu consensuel, un peu tout sans être quoique ce soit d'ailleurs, ce making-of se laisse regarder (malgré une absence de sous-titres qui fera mal, foutredieu l'accent de Downes !), on apprend et voit deux/trois choses, mais c'est clair que si vous ne trouvez que la version standard de cet album, pas la peine d'en faire une maladie. |