 Excellente chanteuse avec un gros nombre de tubes, concert très sympa |
Note globale
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 ...Très sympa et largement trop court, plus un côté béatifiant borderline (mais kesskellébelle) |
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Editeur
: Columbia Music Video
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Durée
totale : 0 h 58
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Image
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Pour de la vidéo, c'est plutôt bien conservé ! La définition n'a pas trop à rougir, la compression sait se faire oublier. Un point en moins car quand on a Randy Jackson dans son groupe, on tâche de le montrer au moins deux fois. |
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Rien d'exceptionnel : le PCM fait des ravages en live en matière de précision, mais il est piraté par la qualité plutôt indélicate des différentes interviews et scènes de campagne. |
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Plein d'excellentes chansons, mais diantre pourquoi si peu ? Quatre-cinq chansons de plus et c'était le nirvana ! |
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Ouais bon, je compte les interviews en bonus même si c'est faux. Ca permet d'éviter le zéro pointé. Et en plus je la tire pas ^^ |
| Ah, Mariah Carey. Mariah Carey. Mais Mariah Carey, quoi, m'enfin. Donc. Mariah Carey. J'espère que vous la trouvez aussi jolie que moi. Non, enfin, je veux dire que vous appréciez son physique autant que je l'aime aussi. Parce que vous allez en bouffer. Le DVD s'intitule Mariah Carey, et pour une fois, le titre ne ment pas (d'ailleurs, depuis quand Carey ment ? Méchants, jamais contents !). En regardant ce programme, ressorti de derrière les fagots, la première chose qu'on se dit, c'est "oh ! qu'est-ce qu'elle est belle !". Elle y est au sommet non seulement de sa beauté, mais aussi de sa popularité, et peut-être tout simplement de son art. |
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La
seconde, c'est "pauvres musiciens !". Ce DVD est en effet principalement
axé sur un live datant de 1995, mais vous n'y verrez que l'adorable
Mariah, et un peu son public (principalement de jolies filles de 15 ans
hurlant à s'en évanouir. Comprends pas, j'étais pas
sur scène ?!). Pas une seule fois vous ne verrez les musiciens
jouer. Pas une. A peine quelques plans volés du piano et de la
basse, mais quelques fugaces millisecondes. A se demander si ce ne sont
pas des erreurs techniques. Et c'est dommage car, en admettant que tous
y compris Mariah jouent bien en live (ce qui reste franchement à
prouver), on a droit à un concert solide. Solide ? Oui, pas comme
liquide ou gazeux. Mais n'essayez pas de marcher dessus non plus. Vous
auriez du mal : à peine commencé qu'il est déjà
fini ! Celà donne le temps d'apprécier la voix, mais rien
d'autre. Ce n'était sûrement pas le but de Mariah (ou alors
elle me déçoit).
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| Heureusement, on en a un peu plus, et elle nous le met quand même. Ce plus, ce sont des fragments d'interviews où l'on découvre ou redécouvre une artiste épanouie (du moins qui en donne l'impression), qui semble généreuse, en tous cas bien trop pour que l'on se satisfasse d'un concert aussi lilliputien (nonobstant son excellence). Parmi les anecdotes, on apprend qu'elle chantait des airs de pub étant jeune - je ne ferai aucun commentaire, mais débuter dans la vie avec la pub, ben... Et entre deux randonnées à cheval, elle prend le temps de parler musique et écriture avec son clavieriste. Enfin quand je dis "prendre le temps", c'est tout relatif : pour un concert de trente minutes, disons que la durée de l'interview est proportionnelle ! C'est mieux que rien, mais ce genre de lieu commun s'applique de toutes façons à tout ce qu'elle a pu nous offrir entre 90 et 95 (je charrie, cette entrevue chanteuse/pianoteur est au-dessus de la moyenne). |
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Pour couronner le tout, le DVD présent ici est un transfert vidéo, point barre. N'attendez aucun bonus (si, le chapitrage, pour les éditeurs c'est un bonus), et d'ailleurs pas même un petit remix en 5.1. Juste une image honnête, qui vous permettra de faire de jolis arrêts sur image, et un son PCM avec beaucoup de pêche surtout dans les aïgus. Ce qui sauve le tout, à part bien sûr le charme et la simplicité de la chanteuse, c'est le manque cruel de lives de cette époque bénie, qui rend ce disque carrément indispensable aux amoureux de la belle métisse. On y trouvera un paquet de chansons énormes (même si la setlist fait un peu double emploi avec Unplugged, avec des versions un peu plus musclées il est vrai), un public bête mais bruyant, pas de fautes de goût, et si on oublie le nombrilisme (pas nécessairement volontaire), il est conseillé de craquer un tout petit peu. Voire beaucoup plein tout. Quant à savoir si c'est le média idéal pour découvrir Mariah Carey, je dirai presque oui puisqu'une fois fini (et ça vient vite), on en redemande. Et les plus mâles d'entre nous pourront à nouveau vérifier que les rondes sont souvent suivies d'un soupir.
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1995 - U.S.A. |
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01.
Emotions |
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Mariah
Carey, Trey Lorenz
- Chant
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Walter Afanasieff, Ren Klyce - Claviers |
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Vernon
Black - Guitare
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Randy Jackson - Basse |
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Gigi
Gonaway - Batterie
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Gary Cirimelli - "Technicien MIDI" (...tangent ça !) |
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Cindy
Mizelle, Deborah Cooper, Melonie Daniels
- Choeurs
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Kelly Price, Shanrae Price - Choeurs |
(PCM)
PAL
Interviews
et clip alternatif de DreamLover, mais c'est dans le programme
