Plein d'extraits d'un de leurs meilleurs albums, ambiance extra, très fun |
Note globale |
Encore long et prétentieux mais moins que d'habitude |
Editeur
: Beyond
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Durée
totale : 2 h 14
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- Image PAL |
Remix
5.1 du titre Homeworld |
Une fois zoomée, l'image reste précise et surprenamment piquante (regardez par exemple le micro de Jon : pas d'aliasing !). Excellente image donc mais dans l'ensemble trop sombre et disposant de couleurs mauves parfois peu distinguées. | ||
La piste stéréo est froide et lourde, indigne du CD live de ce même concert, mais la piste 5.1 est chaleureuse, claire, brillante. | ||
C'est un concert rempli de bonne humeur, les classiques sont joués de façon très cool, pas cliniquement comme sur Keys, et il y a plein d'extraits de The Ladder, l'un des meilleurs albums et sans doute le plus entraînant. | ||
Un mix 5.1 de Homeworld qui pète bien, un making-of sympa et inattendu mais malheureusement non sous-titré... Rien de magique donc mais c'est déjà ça. |
Le monde est notre maison. Refrain de "Homeworld", génial "single" de l'album The Ladder, mgnifiquement défendu ici, mais aussi réel credo du groupe. Yes a conquis le monde, USA, Australie, pays de l'Est, Europe, nul n'ignore ce groupe mythique à plus d'un titre, qui a bravé tous les dangers des années 80 et 90. Et si leurs albums studios sont souvent difficilement décryptables, leurs concerts sont de véritables messes, un rien ennuyeuses comme toutes les messes, mais chaleureuses. | |
House
of Yes est le live qu'on n'attendait pas, lui aussi à plus d'un
titre. Sorti juste après Keys to Ascension, qui restera certainement
LE concert de Yes à posséder (je parle du quadruple CD,
pas du DVD fumeux qui a suivi), il permet au groupe de jouer moins longtemps
qu'avant, devant un public plus relax et plus rock que d'habitude, et
de défendre son dernier album en date, le chaleureux, ensoleillé
et surprenant The ladder. Surprenant car qui aurait cru que le même
line-up qui a pondu Open Your Eyes, infâme daube indigne du pire
des Starcastle, aurait su nous surprendre, et nous enthousiasmer à
ce point ?
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Le résultat est bien sûr évident : ils prennent un plaisir monstrueux à jouer, le public se lâche, les vieux titres ont autant la pêche que sur Keys, sauf qu'ici on voit les musiciens jouer, et les nouveaux titres sont, osons le dire, les meilleurs du set. Ca balance, ca roucoule, ca pétille, Yes ose mélanger le fondant noble d'un Saumur et la vivacité d'un champagne. Saoûlant ? Oui, mais pas comme on en a l'habitude avec ce groupe. Plutôt enivrant. | |
Squire
égal à lui même, Sherwood assurant bien, Koroshev
plus que capable (il est moins exubérant que Wakeman certes, mais
ici ce n'est pas plus mal), pas grand chose à redire : même
(et je dirais : surtout) ceux qui ne connaissent pas bien ce groupe tiennent
là le DVD de rêve. Enfin de rêve si deux trois choses
ne venaient pas gâcher la fête : d'abord, cette édition
termine le concert sur un fade-out pourri à mort, honteux, indigne
! Ensuite, Steve Howe est peut-être un homme très bien, mais
faire semblant de ne pas savoir jouer Owner of a Lonely Heart, c'est vraiment,
vraiment pas classe !!!
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A part ces petits couacs, vous aurez une technique plus que satisfaisante, la dernière apparition à l'écran du regretté Bruce Fairbairn, un Jon Anderson plein de vitalité et qui emballe le public comme un vieux dragueur des plages de Nice, et mine de rien l'un des meilleurs (nombreux) DVDs que le groupe a pu sortir. |
1999 - House of Blues (Las Vegas) |
01.
Yours is no disgrace |
Jon
Anderson - Chant, claviers, guitare
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Steve Howe, Billy Sherwood - Guitare, choeurs |
Igor
Koroshev - Claviers, choeurs
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Alan White - Batterie, choeurs |
Chris
Squire - Basse, choeurs
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